Les eaux un creusé un profond ravin dans la neige. En 2013, au printemps, au début d'avril, la couche était encore très épaisse.
Ils sont très nombreux sur la pente orientale de la combe. D'une manière ou d'une autre ils se jettent tous dans l'ancien étang des Amburnex. Ils sont particulièrement visibles et actifs au printemps, à la fonte des neiges. Alors les quantités d'eau qui descendent du bois du Marchairuz sont fort conséquentes, ayant creusé dans le terrain de véritables canyons.
Tout cela, naturellement, et vu en n'importe quel moment de l'année mangifique et plein d'enseignement quant aux conditons hydrographiques de l'endroit en même temps qu'au formidable travail d'érosion des éléments, liquide en particulier.
Et toute cette eau, sur la rive occidentale de l'étang, disparaîtra bientôt dans un entonnoir pour aller rejoindre quelque canal ou lac souterrain. Les géographes, ou même les spéléologues, et bien entendu les botanistes, pourraient vous en dire beaucoup plus.