On s'y perdrait. C'est pour cette raison que l'on reste en bordure et que l'on décrit ce que l'on pourrait y trouver. La solitude en premier, le mystère en second et la crainte pour couronner le tout. Non pas forcément en été, en hiver, il fait froid, il y a du brouillard, et tout soudain l'on ne sait plus où l'on est, dans ce noir Risoud! L'effroi. A moins de connaître, chaque chemin, chaque sente, chaque cabane, chaque passage par lequel on peut regagner la civilisation.
La forêt du Risoud, mythique à jamais.