Le chant rend toujours content!
Un cinquantième, mieux encore, un centième, cela se fête et s'arrose. Par deux fois la chorale allait mettre les petits plats dans les grands pour recevoir ses invités.
Mais si l'on trouve quelques articles dans la FAVJ, quelque plaquette pour le 50e, on n'en est pas encore à retracer fidèlement cette déjà longue histoire. Ou plutôt l'on est surtout attaché à fêter, laissant l'histoire à la grâce d'un chercheur qui n'est pas encore venu.
Ainsi donc la plaquette du cinquantième, de Maurice Reymond, il s'agit probablement du surnommé "Pompier", n'est pas un pur historique, mais une badinerie où l'on mélange allègremment la prose et la poésie. C'est certes un bon début, mais néanmoins on attend encore une suite qui, avec la notoriété désormais bien établie de la Chorale, ne saurait venir.