Quelques-uns soutiennent que l'exemption accordée aux marchans suisses ne devrait s'étendre que sur les marchandises de leur crû et qui sont originaires de leur pays, et que même cette exemption de leurs propres marchandises ne devrait pas être totale, puisqu'il paraît qu'il y a d'anciens droits qui sont réservés au Roi dans tous les traités, à commencer par celui de 1512, jusqu'à celui de mil six cents cinquante-huit.