La Vallée en bleu plutôt que la Vallée en noir!
La Vallée de Joux connaissait des difficultés économiques importantes, suite à la crise horlogère du milieu des années septante où l'on pouvait croire que la montre mécanique avait vécu. Il fallait réagir. Dans le domaine global de l'horlogerie, ce fut ici l'arrivée de Nicolas Hayek qui allait redonner du punch à la branche et finalement faire que le milieu horloger put redresser la tête, et Ô combien.
Il n'empêche que c'était un mauvais passage. Le tourisme semblait être une planche de salut. Tout au moins le croyait mordicus le journaliste Philippe Barraud qui écrit là un article relativement sinistre, plein de revendications sous-jacentes et tout cousu d'une mauvaise foi par trop évidente.
Il s'agit ici peut-être de l'un des papiers les plus douteux que nous ayons jamais découvert dans notre presse romande. Avec ce genre de diatribes, on en arriverait vite à se se taper les uns sur les autres!
A découvrir néanmoins pour l'ambiance de l'époque. Pas fameuse.