Le coq de 1860, mis au rencart en 1924.
Il faut reconnaître que l'on n'a jamais accordé trop importance, d'une part à nos coqs de village, d'autre part à ceux que l'on peut admirer à distance au sommet des églises.
Ayant eu l'occasion d'en tenir trois dans les mains:
1/ Le coq de la Tour de l'Abbaye, fabriqué dans les années qurante par le ferblantier Richard Imboden, doré en 2018 pour retrouver son emplacement initial, et avec quel succès!
2/ Le coq de l'ancienne église du Sentier, déposé aujourd'hui au Musée du Collège du Chenit
3/ L'ancien coq de l'église du Lieu,
il nous est apparu tout naturel de nous attarder quelque peu sur ces volatiles de fer et de tenter de retrouver leur trace.
Nous nous attarderons ici, en ce premier chapitre, sur les coqs de l'églises du Lieu.
Précisons encore que la symbolique de cet ornement de nos flèches n'est pas clairement établie: protection, fécondité, domination, on ne sait trop que choisir dans un éventail de solutions encore de beaucoup plus vaste. Une recherche approfondie dans les livres, bien entendu aussi sur internet, ne serait à cet égard pas de trop.
Mais dirigeons-nous sans plus tarder vers le lieu de Dom Poncet pour retrouver une page intéressante de son histoire.
