Un paysage qui semble émerger presque tout droit de la dernière ère glaciaire.
Une montagne qui avait la préférence sur la Dent de Vaulion pour Samuel Aubert qui s'y rendait souvent. Ce qui n'empêche pas que cette sommité fut moins courue que sa "petite soeur" sur laquelle maints voyageurs y trouvèrent l'enchantement d'une vue étendue et superbe. Ceux-là laissent une large trace dans notre bibliographie, tandis que les récits quant à l'asension du Mont-Tendre sont rares. Raison pour laquelle on s'attachera avec beaucoup d'attention et de respect sur ceux que nous pouvons vous proposer. Cette matière-là ne court pas les rues.
Saluons bien entendu, en cet espace, Gabriel-Seigneux de Correvon (1695-1775), le premier de tous, et naturellement Samuel Aubert dont la prose fut souvent accordée à cette belle et ronde sommité.
D'autres auteurs moins connus permettront de retrouver le Mont-Tendre sous quelque aspect ou particularité, tout cela formant un tout que nous espérons que vous découvriez avec plaisir.