Pas pour vous rendre triste, pas pour vous emmener en des mondes obscurs et pleins d'inquiétude, mais pour vous offrir à nouveau ces sensations que vous aviez pu connaître. Comme ça, un jour, un peu par hasard.
Telle fut notre rencontre avec la Combe des Barraques. C'était à l'automne. Les grandes herbes que les chevaux n'avaient pas encore foulées, étaient droites comme des blés, et pareilles à ceux-ci, elles bruissaient, s'inclinaient, et le léger vent de cet après-midi là jouait avec elles, pour créer de grandes vagues à leur surface apparemment uniforme. C'était superbe.
Et des journées comme celles-là, qui sont des oasis dans une vie, elles méritent que l'on s'en souvienne. A jamais.