Il s'agira ici de fixer l'histoire générale de ces immigrés dans celle locale de notre Vallée de Joux.
Il s'agira aussi de présenter les quelques livres qui furent consacrés à ces travailleurs de l'ombre et de la forêt qui ne firent jamais de grandes vagues dans notre région, mais dont le travail par contre fut prioritaire, alors que les Suisses délaissaient peu à peu la forêt pour s'en aller peupler les usines où au moins l'on ne risquait plus de se geler les pognes comme on l'avait fait pendant des siècles dans les espaces infinis du Risoud.