Un bijou, malheureusement sans nom d'auteur, de telle manière que nous ne pouvons pas rendre à César, ce qui appartient à César!
"Combien fut douce cette arrivée dans la vieille cuisine.
Pas luxueuse, la pièce, avec son plancher de grosses pierres rugueuses, ses solives noircies par la fumée et les ans, supportant des bardeaux vieillots mais solides encore.
Pas luxueuse, non! mais combien confortable quand sur l'âtre brille une flamme claire.
Un vieux bassin de bois sert de siège, et pendant que se prépare le repas, alors que les membres doucement se détendent à la chaleur du foyer, qu'il fait bon rêver".
Précisons que ces retrouvailles avec le bon vieux chalet se font au coeur de novembre... que le bâtiment est vide de ses bergers, et que par conséquent l'on est obligé de se débrouiller tout seul.