Poya de C. Yersin, douxième partie.
Dans le deuxième tiers du XIXe siècle, la fascination pour le Rang des Vaches ne faiblit pas. Maints journaux témoignent de cet engouement pour notre "hymne national", porteur, semble-t-il, de l'âme de la vieille Helvétie.
C'est ainsi que des dizaines d'auteurs se sont plus à raconter ce que représentait pour eux ce fameux rang des vaches auquel, d'une manière ou d'une autre, par leurs écrits, ils rendaient un brillant hommage.