Julie Meylan nous revient avec une belle romance parue dans le Messager Boiteux de 1928.
La dernière Fête des Vignerons n'est que de l'année précédente, en 1927. Il n'était donc pas trop tard pour la dame du Lieu - elle n'y est sans doute pas encore - de nous concocter l'une de ces bonnes vieilles histoires pleines de romantisme en même temps que d'une certaine forme de naïveté dont elle avait le secret, avec son imagination proverbiale.
S'être attendu si longtemps, est-ce possible ?
Cela raconté et expliqué dans ce joli joli conte que les lecteurs de l'almanach de cette époque purent lire avec plaisir.