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13. Les chaudières des Petites Cernies.

Publié le 17 septembre 2024 dans Sciences naturelles

La plus spectaculaire des deux ou trois chaudière...

    Sur les Petites Cernies, à un endroit où un éperon rocheux s'abaisse en direction de Vallorbe. On ne peut qu'attribuer cette formation au travail du glacier de Joux, lors de la grande période où celui-ci existait, soit entre 115 000 et 11 700 ans.

    Aucune explication donnée par un scientifique sur cette curiosité naturelle méconnue, et surtout  perdue dans les environs tourmentés  du chalet des Petites Cernies. L'endroit est sauvage, accidenté, peu parcouru. Il n'est donc pas étonnant que ces chaudières n'aient pas été repérées par le monde scientifique. Les bergers quant à eux  devaient les connaître, mais ils n'y voyaient qu'un accident du terrain dangereux où il ne fallait surtout pas envoyer du bétail. On assimilait ces étranges formations sans doute à des laisines un peu plus profondes que les autres, ou à des baumes à ciel ouvert.  Sans plus. Elles nous furent signalées par un contemporain d'un village voisin. On ne peut que le remercier.