Le désert, les cactus, les canailles, les chevaux qui crèvent et que l'on abat d'une balle, le cavalier qui s'en va seul avec sa selle sur l'épaule vers des horizons inconnus, des villes sauvages, des saloons mal famés, des danseuses prostituées mal traitées, des héros auxquels les balles n'y peuven rien, l'immensité des ranchs, la dureté des montagnes rocheuses, des attaques de diligence, des indiens tour à tour féroce et intraitables ou martysés, des sheriffs qui peinent à faire respecter la loi, des banques que l'on pille, des lynchages sur la place publique, des troupeaux de milliers de têtes, il y a tout cela chez Mon Journal, une maison d'édition qui fut parmi les championnes du PF. La plupart du matériel venait d'Italie ou d'Espagne, les dessinateurs français s'étant tournés depuis longtemps vers des productions plus connues et qui nourriraient des journaux comme Tintin, Spirou, Pilote et autres.
Il y a toujours eu cette différenciation incompréhensible enre l'album et le RC ou le PF.