Un bel arbre veille sur le petit monde des hommes
Il est là-bas, au coeur de cette immense zone de bois et de pâturages, dominant son immense clairière. Celle-ci d'un km de long, et de trois ou quatre cents mètres de large. La lumière est déjà déclinante qui offre à ces lieux une mélancolie certes douce, mais aussi poignante. On ne s'imagine guère rester ici tout l'hiver.
On disait autrefois la Grange Corneau. On ne dit plus que le Corneau, ce qui manque un peu d'élégance. Beau chalet à quatre pans, donc avec une charpente d'une grande élégance. Le fayard, à proximité, veille sur lui et vous demande expressément de ne pas l'oublier.
Pas de risque. En partant, un dernier coup d'oeil sur la vaste dépression dont le fond doit atteindre des froids sidérants l'hiver.
Un monde à découvrir.