Taveyannaz, devant l'auberge.
"On ne danse plus sur Montbenon, mais on danse encore à Taveyannaz, et fort tard dans la nuit. Et tandis que les étrangers regagnent à regret leurs pénates, emportant de cette fête des Alpes une impression de joie calme et reposante, l'orchestre, infatigable, lance toujours ses notes aiguës que domine le carillon des vaches qui broutent indifférentes l'herbe tendre et parfumée des monts."